Liam Esper

C’est seulement après avoir reçu quelques prix dans des concours de nouvelles que Liam Esper a entrepris la rude tâche d’écrire plus d’une dizaine de pages. Elle a dû se botter les fesses afin de combattre une certaine tendance à la nonchalance et à la rêverie. Après la paresse, autre travers : la mégalomanie. Non contente d’envisager un premier livre, elle l’a écrit avec l’ambition d’en réaliser un second qui serait la suite du premier.

Cela dit, la contemplation de la mer ou de la campagne, vautrée dans une chaise longue, est, en principe, propice au travail de l’imagination. Et quand cette aptitude s’accompagne d’une certaine ambition, on peut envisager d’écrire. Cela s’appelle reconnaître les qualités de ses défauts. Elle a fait sa part.

Aux lecteurs d’en juger.

 

A vous, de jouer !

Dernier livre paru